lundi 16 avril 2007

pour les photos...

Merci pour la suggestion, mais nous preferons respecter la dignite des gens dans la misere et ne pas les accabler d'un perfide et vicerale besoin de les photographier, errant dans leur pauvrete, gisant a meme le sol, les membres ronges par la lepres ou encore l'estomac creuser par la faim, comme pour imortaliser nos frayeurs et ramener avec nous un souvenir perver que l'on pourrait exiber en disant : " vous avez vu ces pauvres, dans quelles conditions ils tentent de survivre." Il ya beaucoup d'autres choses a ramener avec nous, magnifiques et douces, legeres et delicates, meme si il est vrai, certaines images resterons dans notre esprit et uniquement en nous, dans nos cauchemars et nos frayeurs personnelles, inutile de colporter le vice du voyeurisme et la fasination collective des "images choc", nous permettans ainsi de constater que tous va bien pour nous, qu'ailleurs le pire existe...Quel interet y'a t'il a contempler la misere , confortablement installe devant son ordinateur, en sirotant un the legerement parfume a la bergamotte , quel interet y'a t'il a de ramener dans ses valises une collection d' images "du parfais pauvres", sauf peut etre pour les echanger contre d'autres images toutes aussi choquantes et perverties, comme par exemple une collections des plus beau cliches d'accidentes de la route, ou encore uns collection d'images de meres entrain de pleurer leur fils, mort au combat, combat dont on aurait toutes les transmissions en direct, pouvant ainsi voir de quel maniere le soldat Smith ou le coporal Walt serait mort, marchant stupidement sur une mine leur faisant ainsi explose la jambe, les projetant dix metres plus loin sur une autre mine, celle ci leur explosant le le tronc et la tete, eparpillant ainsi leur cervelles et leur viseres jusque sur l'objectif de la camera , images retransmises en leger differe sur des million de televiseurs et en plusieur langues, "qu'est ce que c'est degueulasse " dirai monsieur Tartenpion, "et en plus au moment du diner" retorquerai sa femme, cachant timidement les yeux du plus petit, comme pour l'epargner de ce spectacle, mais lui, habitue depuis qu'il a ouvert les yeux a voir ce que le monde fait de plus beau dans l'horrible, demandant a son frere de zapper pour voir si sur une autre chaine il ne rediffuse pas le film, dont il a loupe le plus drole, " pauvre de toi " lui dit son frere "c'est pas pour jouer, c'est la guere en vrai", laissant ainsi le petit a ses frayeurs les plus lointaines, passant la nuit a repenser a ses deux soldat mort en direct, et prenant conscience que les meres des soldat avait vu les images, il eu peur pour sa familles, imaginent son frere devorer par un chien, ses parents bruler dans immense boites aux lettres et lui au milieu de mille televiseurs, les yeux rouges de larmes, les poings serres sur son pantalon detrampe de pisse, il serait la, forcer de voir ce que la vie lui offre, il passera lui aussi a la tele,quelues annees plus tard, expliquant depuis sa cellule comment a l'age de 14 ans il en ai venu a tuer sa famille, dans un souci, disais t'il de les proteger, "j'avais peur pour eux, et plutot que de les voir mourir en direct pendant que d'autres personnes les regarderai, eceurer devant leur salades vertes, j'ai preferai les tuer moi meme loin des cameras,pour leur laisser la digniter qu'il leur est dut,c'etait de bon parents."

Inde

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